LE CRI D'UNE JEUNESSE

Publié le par ZUEASS

La famille BONGO qui symbolise toutes les richesses du GABON.

"Pendant bien des années ils ont été oppressés, dépouillés de tout bien. Mais gardèrent l'Espoir qu'un jour se lèvera et qu'un Sauveur viendrait relever leur situation.


Je pleurs, je ris, je m'alarme, je festoie et je me plie en sanglot pour ce pays qui m'a vu naître, pour ces terres sur lesquels certainement je mourrais, pour mes parents qui ont dû travailler dur et continuent à mendier leur dû. Pour ces étudiants qui se vendent en bouteille, en nature, en sacrifice et pour le reste qui, bout de feuille à la main ne peuvent trouver preneur.


Je meurs pour nos enfants, aussi nombreux, naissent sans savoir quel avenir ou sort leur seradestiné. Hier, j'ai vu Martine OULABOU, j'ai entendu Christiane BITOUGA. Aujourd'hui André MBA OBAME dit AMO, ne l'aurait pas su, que Pierre MAGANGA MOUSSAVOU, MOUKAGNI IWANGOU et autres visent non la gloire du pays mais torturent l'espoir.


Demain, ils seront de plus en plus nombreux AJEV à assassiner l'espoir et à attendre l'espoir, alors qu'ils sont eux même l'espoir. Le passé l'a compris : on vend des esclaves mais pas une patrie!"

                                                                                                                                        G.M.M.A

    J’ai suivi récemment sur un réseau social populaire (Facebook), le cri d’un jeune gabonais, qui, en quelques mots, a fait l’économie de son pays. Beaucoup sont ceux qui ont vu cette publication, certains ont commenté et d’autres ont tout simplement laissé une mention « j’aime ».  Moi par contre j’ai décidé d’immortaliser ces propos à ma manière, afin de rendre un vibrant hommage à ce jeune gabonais.
Que reste-il à l’Homme si on lui retire l’espoir ? Si le rêve naît et meurt dans un sommeil profond; la réalité demeure comme toujours inchangée.

Souffrances, Larmes, Morts, sont le quotidien. Dieu aurait-il choisi ses enfants? Si certains se meurent pendant que d'autres se sucrent, nous restons spectateurs du malheur.

 Aujourd'hui encore, ce peuple semble condamné par la volonté de l'Homme, des BONGO, sans l'avis de DIEU. Cet article est même un motif de condamnation pour moi, car la critique doit mourir comme le rêve.

Vive le GABON! Vive l'Afrique! Que l'espoir sauve le Possible.   
 

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