DOUTES SUR L'ETAT DE SANTE DU PRESIDENT GABONAIS.

De fatigue légère à fatigue sévère ;  
De crise cardiaque à accident vasculaire cérébrale ;
De Ryad à Londres ;
De Ryad à Paris ;
De l’hôpital Roi Fayçal au King Edward ;  
 

Certains Médias Internationaux  auraient même déjà annoncé son décès. Mais les autorités gabonaises disent qu’il récupère déjà formidablement de sa fatigue ‘’sévère’’, après avoir annoncé un jour plus tôt qu’elle était tout simplement ‘’légère’’.
Aux dernières nouvelles encore révélées par le charismatique porte-parole de la présidence de la République, Ike NGOUONI, le président de la République du Gabon, Ali Bongo serait toujours hospitalisé à Riyad, capitale de l’Arabie Saoudite.

 
Notons d’abord que  ce  même  porte-parole  de la présidence gabonaise avait vingt-quatre heures plus tôt annoncé son déplacement vers une destination européenne, pour semble-t-il récupérer suite à la présumée fatigue. Sans  nul  doute,  la  route  du  président  Bongo  a  pris  plusieurs  destinations en  moins  d’une semaine seulement.  
Constat
Nous constatons finalement qu’il y’a trop d’informations, certainement non avérées, sur l’état de santé du Président Gabonais. Aucune photo, aucune preuve pour confirmer les différentes thèses, de l’hospitalisation ou du supposé décès. Vivement que de véritables affirmations sur sa récupération, bien plus que douteuse, nous parviennent via les autorités gabonaises, peut-être même Françaises.
Conséquences Politiques
La  constitution  gabonaise  prévoit  dans  son  article  15,  une  vacance  du  pouvoir  au  bout  de quinze jours. Si le président ne fait pas signe de vie dans quelques jours seulement,  la cour constitutionnelle  devra  lire  le  droit. Mais  connaissant ce petit pays d’Afrique centrale, qui accable généralement le droit, nous restons septiques quant-à cette évidence. Sans oublier qu’en l’absence du lion dans la forêt, les gazelles font du zèle. En cas d’inattention du corbeau, faisons  tout  de  même  attention  au  Renard.  Car  nous  apprenons  à l’instant qu’un  certain candidat élu, mais déchu, fait déjà des discours révélateurs.